mercredi 30 juin 2010

La fin de l'histoire - Leandro

La relation d'amour entre Cristine et Jean s'écroulait. Donc Jean perdait contact avec les choses belles de la nature et aussi avec Cristine. Il a changé complètement ; le bonheur régnait dans le visage du couple après avoir resté deux semaines dans des terres andines dans un contact avec la nature, sans bien sûr oublier que des douzaines de gigabites de pur Rock'n Roll aussi avaient été emportées dans les bagages.
Le retour de Cristine et de Jean du voyage au Chili a été merveilleux, donc Jean a commencé à percevoir la beauté des formes biologiques et à vouloir comprendre plus sur l'écologie, la science qui peu importait pour lui.
Cristine presque n'a pas cru dans autant de changement et inexplicablement, soulagée et compréhensive, elle a aperçu de nouveaux paysages psychologiques possibles de s'ouvrir. Et ainsi, dans les changements du vent dans les branches qui setournent, dans les courbes de l'eau de la pluie à la rotation, dans les peines qui volent et suivent certaines, dans les possibilités de bonheur? Dans les recherches, des chemins vicinaux et principaux, vivent les êtres qui sentent, réagissent et aiment?
Cristine, Jean, moi, toi, lui, nous, vous, eux, elle et elles aussi; ceux, celles, cela et tous, autour du sommet devient possible.

1 commentaire:

  1. Super Leandro,

    Regarde la correction.

    Bonnes vacances,
    Luciana

    La relation d'amour entre Cristine et Jean qui s'écroulait, doncJean perdait contact avec les choses belles de la nature et aussi avecCristine, il a changé complètement ; le bonheur régnait dans le visagedu couple après avoir resté deux semaines dans des terres andines danscontact avec la nature, sans est clair d'oublier que des douzaines degigabites de pur Rock'n?Roll aussi avaient été prises dans les bagages.Le retour de Cristine et de Jean du voyage au Chili a été merveilleux,donc Jean a commencé à percevoir la beauté des formes biologiques et àvouloir comprendre plus sur écologie, science que peu importait pourlui. Cristine presque ni a cru dans autant changement etinexplicablement, soulagée et compréhensive, elle a aperçu de nouveauxpaysages psychologiques possibles de s'ouvrir. Et ainsi, dans les changements du vent dans les branches qui setournent, dans les courbes de l'eau de la pluie à la rotation, dans lespeines qui volent et suivent certaines, dans les possibilités debonheur? dans les recherches, des chemins vicinaux et principaux, viventles êtres qui sentent, réagissent et aiment? Cristine, Jean, je, tu, il,nous, vous, eux, elle et elles aussi; ceux, celles, cela et tous, autourdu sommet joins possible.

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