lundi 12 juillet 2010

mercredi 30 juin 2010

Ensemble


Une semaine était passée dès que Paul et Anne se sont rencontrés dans le pub et Paul était déjà anxieux pour parler avec son amie d’enfance. Alors, Paul a décidé de prendre le téléphone et appeler Anne pour l’inviter à sortir :

— Allô, Anne ? C’est moi, Paul.
— Paul ! Comment ça va?
— Bien, et toi?
— Je vais bien, aussi.
— Je t’appelle pour t'inviter à sortir. Tu voudrais aller à quelque part avec moi ? Un restaurant, qu’en dis-tu?
— J’aimerais beaucoup, mais je pense que nous devons nous rencontrer ici en chez-moi. Je pourrais cuisiner quelque chose pour nous. Qu'est-ce que tu en penses ?
— C’est une idée très intéressante. Nous pourrions regarder un film après.
— Oui, d’accord. Nous nous voyons à huit heures ce soir.
— Sûrement. Salut, Anne.
— Salut.

Paul est arrivé à la maison d’Anne avant l’heure, puisqu'il ne pouvait pas contenir l'anxiété qu'il sentait par rencontrer son amie une autre fois. Pour Paul c’était une émotion qu’Il n’avait il y avait beaucoup de temps. Certainement c’était un soir plus spécial pour Paul.

Quand Paul est arrivé, Anne déjà était en train de cousiner quelque chose pour eux. Anne a dit à Paul qu'elle était en train de préparer une lasagne parce que ça était le plat préféré par lui.

Paul et Anne ont dîné et ils ont ri beaucoup. Après ils on regardé un film de comédie. Les deux ont passé la nuit ensembles ce jour-là. La continuation de l’histoire je ne sais pas. Il y a beaucoup de temps que je ne voie pas les deux, mais je sais qu'ils sont ensemble jusqu’à aujourd’hui. Ça je le sais bien.

La fin de l'histoire - Leandro

La relation d'amour entre Cristine et Jean s'écroulait. Donc Jean perdait contact avec les choses belles de la nature et aussi avec Cristine. Il a changé complètement ; le bonheur régnait dans le visage du couple après avoir resté deux semaines dans des terres andines dans un contact avec la nature, sans bien sûr oublier que des douzaines de gigabites de pur Rock'n Roll aussi avaient été emportées dans les bagages.
Le retour de Cristine et de Jean du voyage au Chili a été merveilleux, donc Jean a commencé à percevoir la beauté des formes biologiques et à vouloir comprendre plus sur l'écologie, la science qui peu importait pour lui.
Cristine presque n'a pas cru dans autant de changement et inexplicablement, soulagée et compréhensive, elle a aperçu de nouveaux paysages psychologiques possibles de s'ouvrir. Et ainsi, dans les changements du vent dans les branches qui setournent, dans les courbes de l'eau de la pluie à la rotation, dans les peines qui volent et suivent certaines, dans les possibilités de bonheur? Dans les recherches, des chemins vicinaux et principaux, vivent les êtres qui sentent, réagissent et aiment?
Cristine, Jean, moi, toi, lui, nous, vous, eux, elle et elles aussi; ceux, celles, cela et tous, autour du sommet devient possible.

Un jour tout finit... ou commence ?


Les rosiers du Central Park ont finalement fleuri. C’était le printemps qui commençait. Deux semaines étaient passées depuis la rencontre entre Maurice et Véronique, qui ne l’avais pas revu et ne comptait pas le revoir non plus. Mais quand elle a ouvert le magazine ce matin-là, avant d’aller au travail, il paraissait qu’elle allait pleurer: l’article de M. Bradshaw — auquel elle a participé — avait été publié. Contrairement à ce qu’elle avait pensé, le texte sur les femmes et le mariage était très intéressant et incisif.

« Moi, je n’ai jamais pensé qu’il serait capable d’écrire un texte si franc ! », s’est-elle dit. Elle a fini la lecture et est restée quelques minutes perdue dans la contemplation des pages.

Véronique s’est precipitée vers la sortie de l’immeuble ; elle était en retard pour le travail. Avant de partir, elle a vérifié son courrier : il y avait une lettre pour elle. Curieuse, elle a regardé un certain temps cette enveloppe blanche avant de l’ouvrir, à la fois surprise et amusée. Elle a sorti trois feuillets qu’elle a lu avec attention.

« J’espère que tu aimeras mon article... Je finis le travail vers 15 heures. On sort ensemble ce soir ? Si ta réponse est oui, viens au Café Carlyle, à 15h30. Je t’embrasse, Bradshaw. »

Et elle y est allée.

Les deux se sont promenés dans New York par des heures et des heures. Ils bavardaient, ils riaient, ils philosophaient sur la vie. Véronique voulait savoir comment un homme, connu par être un vrai coureur de jupons, pouvait travailler à une revue féminine... « Mais je ne fréquente pas plusieurs femmes en même temps », Maurice a protesté en rigolant. Elle commençait à aimer ce journaliste, grand et mince, la peau blanche, les cheveux bruns et bouclés; les grands yeux verts; une sorte de petit ange...

Fatigués par la promenade, ils se sont assis sur un banc confortable au bord du fleuve Hudson. La nuit tombait. Un vent doux commençait à souffler. Ils ne disaient rien ; le silence parlait bien plus. Le vent passait sur eux, à travers eux, comme s’il n’y avait personne autour. Le regard de Véronique suivait le trajet des bateaux, qui semblaient glisser comme par magie sur la rivière. On était en avril, New York était en fête...

Soudain, ses mains, incontrôlables, se sont touchées. Le cœur de Maurice battait de plus en plus vite. Il devait faire quelque chose... « Le moment est venu d’agir » a-t-il pensé. Avant qu’il puisse s’exprimer, Véronique s’est tournée vers lui avec le sourire le plus beau qu’il n’avait encore jamais vu. Il a senti le désir de l’embrasser en ce même instant. Alors elle l’a regardé profondément dans ses yeux et, doucement, a dit :

«Quelle fille n’a pas succombé aux tes beaux yeux ou à ton joli sourire ? »

Maurice n’a pas hésité : ses lèvres sont parties à la recherche des siennes. Ses langues se mélangeaient, s’enroulaient, se donnaient. Maurice défrichait les territoires inexploités de cet amour naissant, qui a jailli de son intérieur juste à ce moment-là.

***

La fille qui avait des points de vue extrêmement cyniques sur les relations amoureuses et sur les hommes... Le garçon le plus attirant du quartier... Après leur rencontre, Véronique et Maurice n’étaient plus les mêmes. Il semblait qu’ils avaient trouvé une nouvelle raison pour leurs vies.

Would have it been love at first sight ?

mardi 29 juin 2010

La fin de l'histoire de jean et marie

Maria est sortie de sa maison, pour voir qu’est-ce que le garçon faisait lá-bàs. Il l'a invité pour marcher jusqu’à un petit bar qui restait à côté de son aubergue. Maria ne voulait pas, mais Jean a insisté beaucoup. Ils sont arrivés dans ce bar, où beacoup de pechêurs bouvaient. Dans l’aubergue à côté, les amis de Jean faisaient beaucoup de bruits. Maria n’etait pas bien avec tout ça, et elle était en silence. Jean a compris, et l'a invitée pour marcher jusqu’à la plage.

Ils sont arrivés à la plage et Maria a raconté à Jean l'accident que son pére avait eu. Elle a dit que toutes les fois qu'elle allait dans ce bar et voyait ces pechêurs, elle se souvenait que son pére allait lá-bas tous les jours. L'accident s'est passé parce que son pére avait beaucoup bu dans ce bar. En plus, elle écoutait les voix des demoiselles qui avaient ri de Jean ce matin.

Après ça, Jean s’excusait pour le matin. Il dit a elle que quand il a vu, il a compris qu'elle était diferent de ses amis.


Jean et Maria sont retournés, et il avait une bagarre avec les pechêurs du bar et les amis de Jean, parce que les pechêurs ont mis un filet à mer ce matin, et un ami de Jean avait une coupure dans le bras, quand il etait en train de surfer. Ils ont appelé Jean pour retourner pour leurs maisons dans la capital. Maria est devenue très triste et Jean est entré dans la voiture de ses amis. Elle a retourné pour sa maison, desolée pour ça.


La nuit, Maria ecoutait beacoup de bruits dans la rue. Jean lançait des petit pierres dans sa fenêtre.

À la sortie du festival, Juliette était triste parce qu'elle n'a pas retrouvé le beau garçon aux yeux bleus.

À la maison, une surprise: à sa porte, l'intrigant garçon:

- J'ai demandé à vos amis où vous habitez.

- C’est vrai? Je te cherchais dans le concert.

- Je n'aime pas les lieux bruyants. Si vous voulez, nous pourrions boire une bière chez moi

- Bien sûr.

Cette réunion a été rapide, mais qui a marqué le début de cette histoire d'amour.
Ils vivront heureux pour toujours? Avoir une fin heureuse? Ça, ni l'auteur connaît l'histoire. Elle sait seulement qu'ils jouiront pleinement le temps ensemble.

dimanche 27 juin 2010

LA FIN DE L´HISTOIRE DE CAMILLE ET BERNARD

COMME CAMILLE A DIT DANS LA DEUXIÈME PART DE SON HISTOIRE: ELLE TRAVAILLERAIT AVEC SON PÈRE SI ELLE NE REUSSISSAIT PAS À TRAVAILLER DANS SON MÉTIER, QUI EST LA PUBLICITÉ. DONC, AUJOURD´HUI ELLE TRAVAILLE AVEC SON PÈRE À LEUR PROPRE ENTREPRISE, L´AGENCE IMMOBILIÈRE. ET ELLE TRAVAILLE BEAUCOUP POUR AVOIR D´ARGENT POUR PAYER SA NOUVELLE MAISON. SI ELLE AVAIT TRAVAILLÉ DANS SON MÉTIER PEUT-ÊTRE ELLE N´AURAIT PAS CONNU PAUL, SON GRAND AMOUR ET N´AURAIT PAS EU PIERRE ET CELINE, SES ENFANTS!!
COMME TOUT DANS LA VIE C´EST UNE QUESTION DE CHOIX ET SORT!!
ACTUALLEMENT CAMILLE ET PAUL, SON CHARMANT MARI, VIVENT TRÈS CONTENTS AVEC LEURS DEUX FILS À LA MAISON QU´UN JOUR ELLE A VECU AVEC SA FAMILLE, TOUT EXACTEMENT COMME CAMILLE AVAIT SOUHAITÉ!!
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SI VOUS VOUS RAPPELEZ, LA DEUXIÈME PART DE L´HISTOIRE DE BERNARD, VOILÁ LA TROISIÈME ET DERNIÈRE PART.
BERNARD A STOPPÉ TOUTE SA VIE POUR AVOIR SON PREMIER FILS ! S´IL N´AVAIT PAS CONNU MARIE À CE JOUR LÀ IL N´AURAIT PAS EU NICOLAS, LE BEBÉ, QUI EST NÉ LE QUINZE JUIN!! ET SI MARIE AVAIT CONTINUÉ SES ÉTUDES ELLE AURAIT RÉUSSI UN TRAVAIL DANS SON MÉTIER, ÇA AURAIS ÉTÉ BON!!
LES VOYAGES QUE BERNARD AIMAIENT NE SE PASSERAIENT PLUS PENDANT QUELQUES ANS! MAIS BERNARD ET MARIE SONT TRÈS CONTENTS AVEC LEUR NOUVELLE VIE, PARCE QUE SI ON PEUT VOIR LE SOURIRE D´UN BEBÉ ON PEUT COMPRENDRE ÇA!
ILS SAVENT QUE S´ILS AVAIENT EU PLUS DE RESPONSABILITÉ ILS AURAIENT EU PLUS DE CHANCE DE PLANIFIER LEUR FUTUR. MAIS C´EST LA VIE!! SI ON A DE CHANCE DE PLANIFIER BIEN SA VIE C'EST POSSIBLE D´AVOIR DE SUCCÉS MAIS SI ON N´A PAS ÇA C'EST POSSIBLE AUSSI, SI ON PEUT VOIR LA VIE D´UNE AUTRE FAÇON!!